À l’automne 2013, étant donné les impacts environnementaux potentiellement significatifs du creusage des deux rivières, les ministères suggèrent à la MRC du Haut-Saint-Laurent d’explorer plus en détails une des propositions évoquées dans le rapport de 2003 produit par la firme de génie Frappier&Génier. Ce scénario implique d’installer d’énormes conduites qui amèneraient l’effluent pompé dans les eaux vives du fleuve au large de la station de pompage. De là, les eaux colorées et contaminées suivraient le courant jusqu’au canal de Beauharnois, sans revenir affecter la rive.
Le président et un membre de l’ASLSF, Michel Falardeau, ont fait partie d’un petit comité de travail soutenant le préfet de la MRC dans ce dossier. M. Falardeau s’est impliqué corps et âme pour assurer le succès de cette étude, y investissant quelques milliers d’heures de bénévolat de 2013 à 2015.
L’enjeu majeur de cette initiative est de ramener rapidement, dans la région, une paix sociable et durable.
Les objectifs du projet proposés sont:
Cette approche « Frappier&Génier » consiste à doter la station de pompage de conduites qui amèneraient l’effluent dans les eaux vives d’un des chenaux (le petit ou le grand chenal) afin de protéger 20 km de littoral.
Grâce à cette implication de l’ASLSF, la faisabilité de cette option a pu être démontrée à un coût très raisonnable. Cependant, les démarches administratives et les consultations nécessaires s’avèrent complexes. Aujourd’hui, l’issue de ce projet demeure très incertaine.
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